lundi 11 novembre 2013

Atelier Astronomie au Lycée français - Observation de la comête ISON -19 Octobre 2013


Dans le cadre de la coopération avec le système d'enseignement indien, un atelier d'astronomie pour les enseignants indien a été organisé au Lycée Français le vendredi 18 et samedi 19 octobre au lycée.


Cet atelier a eu pour but de faire découvrir les sciences aux enseignants et ceci grâce à l'astronomie et notamment grâce à la comète ISON qui est actuellement observable dans le ciel de Pondichéry.


Le club Astronomie de Pondichéry a donc profité de l'occasion pour effectuer une observation le samedi 19 octobre entre 4h et 6h afin d'observer cet comète.
Tous les élèves du club étaient présents et une trentaine d'enseignants de l'atelier sont venus pour l'occasion.

L'observation d'Ison n'a pas été possible a cause d'un ciel nuageux, mais nous avons pu observer beaucoup d'autres planètes, étoiles et nébuleuses.

Ce moment a vraiment été très riche et a permis d'échanger entre les différentes personnes présentes.


A très bientôt pour de prochaine observations des étoiles.

Et surtout n'oubliez pas : gardez la tête dans les étoiles.


M GRELIER


lundi 22 avril 2013

Le Birla Planetorium de Chennai , un endroit exotique qui est a exploiter par tous!


BM Birla Planetarium est un grand planétarium à Chennai offrant une visite virtuelle du ciel nocturne et la tenue de spectacles cosmiques sur un dôme spécialement perforée en aluminium à l''intérieur.
De plus le bâtiment planétarium dispose d'un endroit autour de lui consacré principalement pour exposer des portraits, des statues des scientifiques, des photographies, des modèles de divers corps célestes, les phénomènes célestes et les missions spatiales.
Et comme le planetorium de Chennai est un endroit sacré consistant sur l'évolution de l'univers qui est ouverte à tous,ne tardez à y profiter.

A vos mars, pret, feu partons :
Notre itinéraire commence Du Big Bang jusqu'à nos jours !!!


Prasanna 2nde 1







Le planétarium



Après avoir fait un « long » voyage, on est arrivé au Birla planétarium, qui est à Chennai.
Dans le planétarium, on a vu un petit film imax qui parlait des corps célestes.
Le petit film était en anglais.
Déroulement de la séance du petit film au planétarium :

On a vu des images d’objets célestes, dont les satellites de jupiter, qui sont appelées en anglais  « Galilean moons » car elles ont été découvertes par l’astronome Italien Galileo Galilée .Ce dernier, a aussi observé Saturne, comme son télescope, n’était pas très puissant, il n’a pas pu  observé Saturne avec précision.

Puis en 1553, Nicolas Copernic, ait une carte de l’univers, très différente des autres : pour la première fois de l’histoire, un homme place le soleil au centre de l’univers, en prétendant, que la terre révolutionnait autour de cette étoile géante .Mais malheureusement, il n’avait pas de preuves, pour démontrer, que la terre n’était pas au centre de l’univers.

Mais un peu plus tard, Galilée, trouva, un chose, qui démontrait que l’univers ne fonctionnait pas comme le pensaient les gens de l’époque : il découvrit, que les satellites naturelles  de Jupiter, tournait autour de Jupiter. Les corps célestes que l’on observe aujourd’hui, ne sont qu’une image de ce qu’ils étaient il y a parfois plusieurs milliers d’années (dépendant de  la distance entre eux et la terre.).

RAPHAEL 4E 2

Le planétarium de Paris par rapport au planétarium de Chennai

Le jeudi, 11 avril, on est allés au planétarium de Birla à Chennai. C’était une séance sur les étoiles et des télescopes. C’est ma deuxième fois à un planétarium. La première fois, c’était à Paris, au palais de la découverte.
Birla planétarium Chennai
Le planétarium de Paris est plus grand que celui de Chennai. Et le planétaire à Chennai est un peu plus petit que celui à Paris qui est de marque Zeiss. Mais la qualité de la reproduction d’un ciel étoilé était quand même aussi bonne. Et ce que je n’ai pas bien aimé, c’était les gens avec des lampes à torches qui m’ont beaucoup énervée.
Planétarium de Paris
Le thème était intéressant et on a tous beaucoup appris. A Paris la séance était vraiment mise en scène avec de la musique au début et à la fin. Et il y avait aussi un conférencier qui expliquait tout. A Chennai c’était un enregistrement.
Enfin, pour être honnête, moi, je préfère le planétarium à Paris. Je le trouve un peu meilleur que celui de Chennai.


Shruti, membre du club Astronomie

mercredi 3 avril 2013

Eclipse lunaire 25 avril 2013

Le jeudi 25 avril 2013, une éclipse lunaire sera visible depuis Pondichéry entre 23h34 et 03h41, si vous voulez voir a quoi cela va ressembler, vous pouvez suivre le lien suivant et  lancer l'animation en vitesse lente.

http://www.timeanddate.com/eclipse/lunar/2013-april-25

Le club astronomie de Pondichéry sera sur les lieux pour observer ce phénomène.

Bulles géantes dans notre galaxie, le mystère s’éclaircit

La voie lactée, comme toutes les grandes galaxies, a un trou noir supermassif. Autour de ce trou noir, il y a une région en gaz où se forment de nouvelles étoiles.

En 2010, le téléscope spatial Fermi détecte deux gigantesques bulles à la perpendiculaire du centre de la galaxie. Ces bulles étaient hautes de plus de 50 000 années-lumière et ce sont formées par des flux de particules de très haute énergie. A une vitesse de 1000 km par seconde, ces particules étaient expulséés du centre de la galaxie ! Cette vitesse, est vraiment rapide, même à l’échelle astronomique. Ces bulles portent le nom du téléscope spatial Fermi, qui les a découvert.


 

La source de ces bulles, restait à comprendre. Mais en Australie, une équipe internationale a mesuré les champs magnétiques de ces bulles, grâce au radiotélescope de l’observatoire de Parkes. On a maintenant une hypothèse que ces bulles seraient des vents stellaires gigantesques qui sont alimentés par la zone de naissance et de mort des étoiles depuis au moins 100 millions d’années !!

Et heureusement, on a aussi trouvé que ce phénomène n’est rien de danger pour le système solaire !

- Sruthi membre du Club Astro de Pondy


mercredi 30 janvier 2013

Observation des planètes et des étoiles, le 18 janvier.

Le vendredi 18 janvier, le club Astronomie a sorti les télescopes pour une soirée dans les étoiles....
 
Des élèves de plusieurs écoles indienne venus passe le prix national de l'apprenti scientifique sont venus nous voir et profiter des télescopes pour observer.

 
Il sont été ravi de leurs observations et nous ont remercié.
 

 
Les membres du club d'astronomie ont présenté le ciel, réglé les télescopes et expliqué leur observation.

Une très belle soirée,
 à renouveler des que possible.....
 
 
 
Gardez la tête dans les étoiles....
 
 

mercredi 16 janvier 2013

Neil Ibata, ce lycéen de quinze ans qui bouscule Einstein.

Un adolescent, scolarisé à Strasbourg, peut se targuer d'une découverte astrophysique majeure qui lui vaut les honneurs de la presse scientifique internationale.
Il y a du chemin avant le Nobel, mais allez savoir ce qui attend le jeune Neil Ibata, un Strasbourgeois, qui, à tout juste quinze ans, figure cette semaine dans une étude d'astrophysique au sommaire, et même en couverture, de la très prestigieuse revue britannique Nature. Certes, il n'est que coauteur de l'étude en question, mais pour un lycéen qui n'est somme toute qu'en première, au Lycée international des Pontonniers, il y a de quoi être fier.
Et on ne vous parle pas du papa. Pour la postérité, l'adolescent restera l'un des plus jeunes à avoir eu le privilège de lire son nom dans cette revue, parmi ceux d'une quinzaine de physiciens et d'astronomes du monde entier, pour une découverte qui n'est pas anodine. Quant à son père, Rodrigo Ibata, il est "le signataire principal de la publication" rappelle le CNRS dans son communiqué. C'est lui qui a eu la bonne idée de faire venir son fils sur son lieu de travail, à l'Observatoire astronomique de Strasbourg. L'ambition n'était pas qu'il participe à une grande découverte, mais qu'il se perfectionne en Python, le langage de programmation informatique utilisé par son équipe pour modéliser l'évolution de galaxies lointaines. Le fait est, souligne le CNRS, que c'est bien le cadet des Ibata, qui a "le premier (...) mis en évidence la rotation d'un disque de galaxies naines autour de la galaxie d'Andromède".
La galaxie Andromède.
Un scientifique en herbe et des galaxies naines
Il faut dire qu'à l'âge de douze ans, a raconté son père, alors donc que Neil était au collège, il avait déjà "passé toute une semaine à travailler sur la modélisation des systèmes d'étoiles". Au micro de France Bleu Alsace, le jeune prodige, dont il faut bien avouer que la découverte ne parle pas à tout le monde, explique qu'il a "joué avec les données que l'équipe de [son] père avait mesurées, c'est-à-dire la distance et la vitesse de (...) galaxies naines" autour d'Andromède. Comme dans notre propre Voie lactée, les scientifiques les y observaient depuis longtemps, mais on ignorait jusqu'ici que "la majorité d'entre elles sont organisées en une gigantesque structure aplatie de plus d'un million d'années-lumière de long, en rotation sur elle-même".
On vous épargne les détails, c'est très pointu, mais on retiendra que ces travaux ouvrent des perspectives nouvelles aux astrophysiciens, ainsi amenés à repenser la formation des galaxies. En bref, a-t-on pu lire ici et là dans la presse, un minot de quinze ans vient de bousculer les théories d'Einstein et de Newton. Rien de moins.
Neil Ibata.
La bosse des maths et du piano
Les mathématiques, ça s'apprend, comme le goût de l'effort, et les partitions. "Mon père a commencé à m'enseigner les maths et la physique quand j'avais cinq-six ans, et ça m'a toujours passionné", a raconté l'ado à France bleu, soulignant qu'il avait un goût certain pour les difficultés, que ce soit en matière scientifique ou quand il fait du piano. Là aussi, "c'est bien de se confronter à des morceaux difficiles", a dit le jeune Neil Ibata, qui tout de même, se destine plus à une carrière scientifique qu'à la musique.
Pas peu fier, son père a estimé qu'avec une première signature dans Nature à l'âge de quinze ans, "ça fait monter la barre très haut". Pour autant, le chercheur au CNRS n'en doute pas, ou du moins il l'espère, son fils "pourra refaire des réussites semblables plus tard". "J'en suis sûr, il y arrivera", a conclu M. Ibata.